Digimon Powa
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 Kohana Hayashi

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AuteurMessage
Kohana Hayashi
Digisauveuse de caractère
Kohana Hayashi


Féminin
Messages : 44
Date de naissance : 05/09/1988
Date d'inscription : 08/10/2012
Age : 35

Feuille de Personnage
Informations Informations:
Inventaire:
Kohana Hayashi Empty
MessageSujet: Kohana Hayashi   Kohana Hayashi EmptyMar 16 Oct - 2:26

Votre Personnage


Prénom :
Kohana

Nom :
Hayashi

Âge :
16 ans

Sexe :
Femme

Symbole :
Amour

Personnage sur l’avatar :
Inoue Orihime

Description Physique (5 Lignes Minimum) :
Je n’ai pas l’habitude de faire ma description physique, alors je ne sais pas trop par où commencer. Je peux dire que la première chose que l’on remarque chez moi ce sont mes longs cheveux roux. Cela m’a valu plusieurs moqueries de la part de mes camarades de classe, vous savez les roux ont la vie dure durant leur jeunesse. Cela ne m’empêche pas d’être fière de ma chevelure de feu qui atteint presque mes hanches. Mes yeux sont d’un gris argenté, ce qui en déstabilise certains. Mon visage aux traits délicats laisse croire que je suis douce, mais il ne faut pas s’y fier. J’ai une peau pâle qui rougit dès que je me découvre au soleil, je dois constamment me mettre de la crème solaire pour éviter d’avoir des coups de soleil. Je suis assez petite, je fais au maximum 1m57. J’ai atteint cette taille à mes 10 ans, mes parents en étaient tout fiers de savoir que j’allais être grande. Contrairement à leur espoir, je cessai de grandir à cet âge-là, mais je ne m’en formalise pas. Ce n’est pas la taille qui détermine ce qu’on est capable de faire. Je suis assez mince, la taille fine, des hanches dans la moyenne, de longues jambes effilées. Ma forte poitrine fait exception, elle se remarque assez facilement. Les filles en sont généralement jalouses et les garçons ne cessent d’y poser leurs regards. Je ne vois pas en quoi il faut en faire tout un plat, pour moi ce n’est pas quelque chose d’extraordinaire, ce n’est qu’une poitrine. Autre chose qui me distingue, ce sont les cicatrices de brûlures que j’ai sur les cuisses, le ventre et dans le dos. Je n’ose plus me découvrir devant personne, car j’ai trop honte de ce qu’elles représentent et qu’elles ne m’inspirent que dégoût. Pour ce qui est de mes vêtements, je n’ai pas de style particulier. Je mets seulement des vêtements que j’aime sans me préoccuper de la mode, dans la mesure où je ne laisse pas voir mes cicatrices.

Caractère : (5 Lignes Minimum) :
Certains vous diront que j’ai un sale caractère, d'autres que je suis un ange. Tout dépend de quel côté ils se situent, soit avec moi ou contre moi. Ils n’ont pas tout à fait tort, c’est simplement qu’ils ne saisissent pas toutes les subtilités de ma personnalité. Car une personnalité c’est bien plus complexe que ce que l’on peut constater en apparence. Je peux me montrer assez douée pour masquer mes émotions. Toutefois, il ne faut pas me provoquer, c’est à vos risques et périls. Je ne supporte pas l’injustice, la méchanceté gratuite ou l’hypocrisie. Selon mes proches, j’ai la langue bien pendue. Je ne me définirais pas de cette manière, c’est juste que je suis honnête. Sinon en général, je suis d’humeur joyeuse, comme ma sœur l’était. C’est simplement pour mieux cacher le vide que sa disparition à laisser à l’intérieur de moi. Je n’arrive plus à exprimer l’affection que je ressens pour autrui, j’ai un blocage. J’ai une peur bleue de m’attacher et de perdre la personne que j’aime. Je suis aussi très complexée par les cicatrices que je porte. Cela me rend extrêmement pudique devant les autres. Malgré mon attitude confiante, je suis en réalité peu sûre de moi-même. Je suis aussi très douée à l’école et très disciplinée. J’accorde une grande importance à bien me nourrir.

Histoire : (15 Lignes Minimum) :
J’ai eu la chance de naître dans une famille normale. Mes parents étaient aimants, j’avais un grand frère, de trois ans notre ainé et une sœur jumelle, Etsuko. Nous avions la chance de ne manquer de rien. Malgré notre ressemblance frappante, nous étions très différentes l’une de l’autre. Etsuko était énergique et toujours souriante, moi j’étais calme et introvertie. Pourtant, nous nous entendions parfaitement bien, nous nous complétions. Nous étions des inséparables. Notre frère nous appelait les siamoises tellement nous étions toujours ensemble. Puis est venu le temps où nous sommes entrées à l’école. La différence entre nous s’était accentuée sans briser notre complicité. Alors que je performais à l’école, ma sœur elle avait plus de difficulté, mais était entourée de nombreux amis. Grâce à sa sociabilité, elle devint vite populaire. À aucun moment je n’ai été jalouse d’elle, bien que je sois souvent seule ou brimée par certains de mes camarades. Avec le recul, je crois que si ma sœur s’était éloignée de moi pour ses soi-disant amis, je l’aurais sûrement été. Heureusement, elle n’était pas comme ça, elle ne savait juste pas dire non. Je ne pouvais pas dire que je ressentais la même chose pour mon frère. Contrairement à Etsuko, il ne me parlait pas à l’école parce que j’étais une rejet, il n’était pas question qu’il soit avec quelqu’un de ce genre. À la maison, il faisait comme si de rien n'était, alors que moi je me rappelais très bien son mépris à mon égard. C’est à partir de ce moment-là que notre relation s’est détériorée. Déjà à cet âge-là, je ne supportais pas les hypocrites. Je l’ignorais à l’école et à la maison. Mes parents ne comprenaient pas les raisons de mon comportement. Même le principal concerné ne saisissait pas, puisque pour lui l’école et la maison c’était deux choses différentes.

Malgré cette tension et ma solitude, je n’étais pas malheureuse. Tout se passait normalement pour nous, jusqu’à ce que ma sœur et moi commencions à voir des choses que les autres ne voyaient. Tout à commencé lorsque nous regardions la télévision, je m’en souviendrai toujours. La présentatrice météo parlait des pluies diluviennes qui s’abattaient dans les régions. Dans les sombres nuages, j’ai vu un monstre gigantesque apparaître. Je regardai autour de moi et personne ne sembla réagir à ce phénomène, sauf ma sœur qui me regardait. Je compris qu’elle aussi avait vu le monstre. Ces apparitions sont devenues de plus en plus fréquentes. C’était notre secret, puisque nous avions peur de la réaction de notre entourage si nous disions quoi que ce soit.

Hormis ces visions, toute notre enfance s’était déroulée sans anicroche, jusqu’à ce soir fatidique. Je devais avoir 12 ans lorsque ma vie en a été bouleversée. C’était une nuit sans nuages, je dormais paisiblement lorsqu’un incendie s’est déclaré dans la maison. Je ne me réveillai pas immédiatement, dormant d’un sommeil profond. C’est une douleur insoutenable qui me tira du sommeil. Je n’arrivais plus à respirer sous la douleur et la chaleur insoutenable qui m’obstruait les poumons. Je roulai sur moi-même, me jetant sur le sol encore intact pour tenter d’éteindre le feu qui s’étendait mon ventre, mes cuisses et mon dos. C’est alors que je sentis une couverte me recouvrir et quelqu’un qui appuyait frénétiquement dessus pour l’éteindre. Malgré cela, la douleur était insoutenable, je tremblais convulsivement incapable de le supporter. J’ouvris des yeux pleins de larmes sur le visage de ma sœur jumelle qui me souriait avec bienveillance. Elle m’aida à me relever, me disant qu’on ne devait pas poireauté dans la maison. Je devais des efforts surhumains pour ne pas m’évanouir à cause de la douleur. Etsuko me guidait entre les flammes, nous rapprochant inexorablement de la sortie. Mais le feu est un élément imprévisible et destructeur. Nous arrivions à la porte, lorsqu’un craquement sinistre retentit au-dessus de nous. Avant même que je puisse faire quoi que ce soit, je sentis qu’on m’agrippait et qu’on me poussait vers l’extérieur. Je m’étalai contre un pompier qui venait d’arriver sur les lieux. Je retournai un regard embrouillé vers la porte, à l’intérieur ma sœur jumelle se faisait engloutir par les flammes. Sur le moment, je ne réalisai pas vraiment l’impact de cette image. La douleur eut raison de moi.

Je me réveillai des semaines plus tard, dans une chambre d’un blanc aveuglant. J’entendais un bip répétitif qui m’agaça les oreilles. Je sentais mes membres étrangement lourds, je peinais à garder les yeux ouverts. J’avais l’impression de me réveiller d’un long sommeil, en fait je n’étais pas loin de la vérité. Un visage familier entra dans mon champ de vision, je reconnus les cheveux auburn de ma mère et son regard émeraude, à la fois inquiet et soulagé. Je la trouvai bien pâle contrairement à son habitude. Je posai quelques questions d’une voix rauque d’avoir été silencieuse trop longtemps. Je n’eus que des réponses vagues qui me laissaient penser qu’ils me cachaient quelque chose. L’esprit embrouillé par la morphine, je ne poussai pas plus loin. Je fermai les yeux, somnolant pendant encore plusieurs heures. Ce qui me réveilla par la suite ne fut pas la douleur, mais l’insensibilité des endroits ravagés par les flammes. Je posai mes mains ses les endroits indolores. Je sentis les pansements sous mes doigts, me laissant deviner la nature de mes blessures. Je ne savais comment réagir face à cette découverte. Il était clair que j’étais sous le choc. À mesure que je reprenais pied dans la réalité, le souvenir de ma sœur disparaissant dans les flammes me revint. Mon cœur se serra douloureusement, pressentant le pire. J’allais devoir en parler avec mes parents à leur prochaine visite. Pour ce faire, je dus attendre une journée complète. Ils me fixèrent, heureux de me voir consciente. Lorsque j’abordai le sujet de ma sœur, ils s’assombrirent aussitôt. Ils n’eurent d’autres choix que de m’annoncer le décès de ma jumelle. Elle était retournée dans la maison en flamme pour me sauver, mais elle avait été engloutie par les flammes. Maintenant qu’ils m’en parlaient, je me rappelai avec acuité la dernière fois que je l’avais vu. J’eus l’impression de perdre une partie de moi-même à ce moment-là. Je tremblai de tous mes membres accusant le choc de cette nouvelle.

Je restai dans un état second pendant plusieurs jours. Je me sentais affreusement coupable d’avoir causer la perte de ma sœur. Mes parents avaient beau dire que ce n’était pas le cas, je ne voulais pas le croire. J’avais perdu ma seule véritable amie. C’est aussi à ce moment que mon frère s’est rapproché de moi. La perte d’Etsuko l’affectait autant que moi et j’étais en quelque sorte le souvenir qu’elle avait laissé. On ne m’avait jamais appréciée pour moi-même, mais pour ma sœur, ça ne changeait pas grand-chose. Cela me fit devenir une pâle copie de ma sœur. Chaque fois que je regardais mon corps dans le miroir, la perte de ma jumelle m’était renvoyée en pleine figure. J’en garderais des séquelles pour le restant de mes jours. Ils avaient dû faire des greffes de peau, puisque la chair était trop gravement atteinte pour se remettre. Je ne risquais pas d’oublier cette perte. J’ai passé mon adolescence à me remettre de mes blessures.

Je changeai d’école, réussissant à me faire des amis, continuant de faire des jaloux à cause de mes résultats scolaires. Toutefois, il n’était pas question pour moi de les laisser se moquer de moi. J’étais reconnue pour ne pas avoir la langue dans ma poche et pour réagir vivement à toute provocation. Depuis l’incendie, j’évitai de m’attacher trop aux gens de peur de souffrir encore de la perte d’un être cher. Je traversais une période tumultueuse au grand désespoir de ma famille qui ne savait pas comment se comporter avec moi. Il faut dire que j’avais pris soin de mettre une certaine distance entre nous, sans être méchante avec eux. Je ne leur témoignais tout simplement pas d’affection, j’en étais incapable. Mes sentiments restaient bloqués à l’intérieur de moi. Chaque fois, je revoyais l’image de ma sœur engloutie par les flammes. Il m’arrivait souvent d’en faire des cauchemars. À la suite de quoi, je me réveillais avec l’impression de sentir les flammes me bruler, ravivant une douleur censée être disparue.

C’est ainsi que je vécus jusqu’à mon seizième anniversaire. Je flânais sur internet, lorsque l’écran s’est illuminé, m’éblouissant. Je me protégeai du mieux que je pouvais, sans véritable succès. Puis, la lumière disparue aussi vite qu’elle était apparue. Je reportais mon regard vers l’ordinateur pour constater qu’il y avait un œuf devant moi, accompagné d’un petit bidule. Je regardai l’œuf et le bidule que j’associai à une montre, sans comprendre d’où ça venait. Je sortis de ma léthargie en couvrant l’œuf à l’aide d’une couverture, me rappelant qu’il lui fallait de la chaleur. Je fis quelques recherches sur internet sans succès. Je me couchai sur ce mystère non résolu. Je ne restai pas longtemps dans l’ignorance. Je me réveillai un matin avec une boule blanche aux joues rosées devant moi. J’en restai estomaquée, je clignai des yeux plusieurs pour être sûre de ne pas rêver. Je gardai mon sang-froid, ne voyant rien de dangereux dans son regard. Mon premier réflexe fut de lui donner à manger. J’allais lui préparer un bon petit déjeuner que je lui donnai dans ma chambre, ayant comme réflexe de cacher son existence à ma famille. Aussitôt qu’elle eut comblé son appétit, elle changea de forme pour devenir une boule jaune avec une longue queue. À ma plus grande surprise, elle commença à parler. Elle disait qu’elle était Nyaromon, mon digimon une créature venue du digimonde, et que j’étais sa digisauveuse. Sur le coup, je ne compris pas trop, jusqu’à ce qu’elle aborde le sujet d’une guerre et de monstre traversant dans le monde réel. Je me souvins des monstres que seules ma sœur et moi voyions. Tout s’éclaira pour moi. Quelque chose venait de se métamorphoser à l’intérieur de moi et ce n’était que le début d’une nouvelle aventure.

Et vous, maintenant ! (Falcultatif)


Prénom :
Mystère et boule de gomme

Âge :
Secret défense XD

Où avez-vous connu le forum :
C’est Yamato qui m’a fait connaitre le forum.

Aimez-vous le design, sinon pourquoi :
Oui, c'est simple et efficace.

Code dans le règlement :
Validé par moi-même XD

Votre Digimon

Nom :
Gatomon

Surnom (Facultatif) :
Aucun

Sexe :
Femelle

Caractère :
Gatomon serait prête à tout pour me protéger. Elle ne supporte pas de me voir souffrir d’une quelconque façon. On se complète bien sur plusieurs aspects. Elle est la voix qui me ramène à la raison lorsque je me laisse emportée par la colère et je fais de même avec elle. C’est comique de voir à quel point nous sommes à la fois pareille et qu’on se complète. Si je ressens un quelconque blocage en matière d’affection, ce n’est pas le cas pour Gatomon qui ne se prive pas de me témoigner son profond attachement. Elle est d'une fidélité à toute épreuve. Elle sait aussi être discrète lorsque la situation l'exige. Gatomon est aussi reconnue pour dire les vrais choses sans détour. Comme moi, elle est très sensible sous ses airs de dur à cuir.

Digivolutions
Stade Bébé - YukimiBotamon:
Stade Entraînement - Nyaromon:
Stade Disciple - Salamon:
Stade Champion - Gatomon:
Stade Ultime - Angewomon:
Stade Méga - Magnadramon:
Digi-oeuf Amour - Swanmon:
Digi-oeuf Lumière - Nefertimon:
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Kohana Hayashi
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